Allez savoir pourquoi, j'ai envie de friture.
C'est synonyme de gras, mais c'est bon, du moins ça offre des possibilités de cuisson. Par exemple, j'ai gouté des ailes de poulet frites. Bon, c'est gras, mais c'est aussi bon que les ailes de poulet grillées au four.
Entre temps, je compense avec de la salade.
lundi 21 juin 2010
dimanche 20 juin 2010
La tristesse, la colère, le sentiment d'injustice s'atténuent, au fil du temps, et même si quelques pointes de révolte, de temps à autres, viennent me pincer le coeur la vie a repris son cours.
Bien que seule, triste, un peu amère, les invitations printanières et les amitiés sous jacentes, rassurantes, qu'elles supposent me remontent le moral et me font du bien. J'aspuire la vie autour de moi, l'air (frais) du temps qui passe, en regardant mon chez moi pourtant tout simple, que je voudrais plus grand, plu beau, mais aurai.je le temps d'en profiter alors ?
Bien que seule, triste, un peu amère, les invitations printanières et les amitiés sous jacentes, rassurantes, qu'elles supposent me remontent le moral et me font du bien. J'aspuire la vie autour de moi, l'air (frais) du temps qui passe, en regardant mon chez moi pourtant tout simple, que je voudrais plus grand, plu beau, mais aurai.je le temps d'en profiter alors ?
samedi 19 juin 2010
Aujourd'hui, super nouvelle. Une amende que je croyais devoir payer m'a été annulée. Or, j'ai fait une réclamation juste pour avoir le temps de réunir les fonds. Résultat, j'ai l'argent !
Je vais aller au restau avec Chéri, d'une part, et aussi en garder, très soigneusement, pour les vacances.
mais je suis ravie !
Je vais aller au restau avec Chéri, d'une part, et aussi en garder, très soigneusement, pour les vacances.
mais je suis ravie !
mercredi 16 juin 2010
Comme elle le note, Je constate qu'en effet, souvent, les enfants, de nos jours, sont douillets. Trop protégés ?
mardi 15 juin 2010
Et ça y est, la voilà tout en émoi la blogo, à propos de l'apéritif apéro saucisson. Un article dessus dans wikio, des articles RT ad libidum sur Twitter. On en a parlé à la télé. Du rien qui crée du rien et qui parle du rien.
J'ai jeté un oeil sur le profil de l'organisatrice moi aussi, on ne sait rien d'elle, en voilà une qui applique les règles de confidentialités de FB ! C'est de la provoc à deux balles, il y a bien plus important en France. Mais on en parle. Les positions se radicalisent pour des aneries, des rodomontades stupides...
J'ai jeté un oeil sur le profil de l'organisatrice moi aussi, on ne sait rien d'elle, en voilà une qui applique les règles de confidentialités de FB ! C'est de la provoc à deux balles, il y a bien plus important en France. Mais on en parle. Les positions se radicalisent pour des aneries, des rodomontades stupides...
lundi 14 juin 2010
dimanche 13 juin 2010
samedi 12 juin 2010
vendredi 11 juin 2010
jeudi 10 juin 2010
Les toujours ouvrables
J'adore le blog les toujours ouvrables. Ça me fait direct penser à une super cop prof, qui a un humour du tonnerre et me fait hurler de rire en me racontant ses déboires.
Alors, allez le lire !
Alors, allez le lire !
mercredi 9 juin 2010
mardi 8 juin 2010
dimanche 6 juin 2010
Le vent avait chassé la pluie aux larges gouttes,
Le soleil s'étalait, radieux, dans les airs,
Et les bois, secouant la fraîcheur de leurs voûtes,
Semblaient, par les vallons, plus touffus et plus verts !
Je montai jusqu'au temple accroché sur l'abîme ;
Un bonze m'accueillit, un bonze aux yeux baissés.
Là, dans les profondeurs de la raison sublime,
J'ai rompu le lien de mes désirs passés.
Nos deux voix se taisaient, à tout rendre inhabiles ;
J'écoutais les oiseaux fuir dans l'immensité ;
Je regardais les fleurs, comme nous immobiles,
Et mon coeur comprenait la grande vérité !
Le soleil s'étalait, radieux, dans les airs,
Et les bois, secouant la fraîcheur de leurs voûtes,
Semblaient, par les vallons, plus touffus et plus verts !
Je montai jusqu'au temple accroché sur l'abîme ;
Un bonze m'accueillit, un bonze aux yeux baissés.
Là, dans les profondeurs de la raison sublime,
J'ai rompu le lien de mes désirs passés.
Nos deux voix se taisaient, à tout rendre inhabiles ;
J'écoutais les oiseaux fuir dans l'immensité ;
Je regardais les fleurs, comme nous immobiles,
Et mon coeur comprenait la grande vérité !
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